La stratégie de ces SCPI vise à acquérir des bureaux, voire des logements à fort potentiel de revalorisation. Dans ce cas, l’on peut penser facilement aux logements soumis à la loi du 1erseptembre 1948.*Elles acquièrent ainsi des logements occupés avec des travaux comprenant une forte décote (entre 30, 40 %). Puis, au bout de quelques années, elles revendent ces mêmes logements vides et restaurés, ce qui génère effectivement un gain plus important au moment de la revente.
Intérêt fiscal : lorsque ces SCPI acquièrent des logements à faibles loyers avec la loi de 1948, cela permet aux investisseurs d’imputer ce déficit aux revenus fonciers perçus par ailleurs.
Profil investisseur :
Investisseurs recherchant non pas un gain rapide, ou des revenus réguliers, mais souhaitant réaliser une belle plus-value au moment de la vente.
*Loi du 1erseptembre 1948 :
Elle fixe les rapports entre bailleurs et locataires. Le principe était de ne pas toucher au montant des loyers (bloqués) Ce sont des logements à très faibles loyers. En revanche, ils sont anciens et ne bénéficient pas du confort des logements récents. Les locataires ont de faibles loyers et surtout la possibilité de rester dans le logement jusqu’à leur décès.
La plus value immobilière (voir fiche SCPI Malraux rubrique « fiches pratiques»)